Michaël Mention

Biographie : 

Michaël Mention est romancier et scénariste.

Adolescent, il dessine des bandes dessinées et intègre, en 1999, un atelier d’écriture à l’Université du Mirail à Toulouse. Par la suite, il glisse des chroniques aux nouvelles jusqu’à l’écriture en 2008 de son premier roman, « Le Rhume du pingouin ».

Il devient une étiole montante du polar avec « Sale temps pour le pays » (Grand Prix du roman noir français au Festival de Beaune en 2013) ainsi que « Et Justice pour tous » (Prix Transfuge du meilleur espoir polar en 2015), tous deux publiés chez Rivages.

Il est aussi l’auteur d’un récit documentaire, « Fils de Sam » (2014), et de « Jeudi noir » (Ombres noires, 2014), un roman sur le match de football France-Allemagne de 1982.

Résumé :
.
Franck, disquaire à Pigalle, avait tout : une femme formidable, une petite fille espiègle.
Et puis un jour de juin 1977, tout s’effondre lorsqu’un type braque une boulangerie de Belleville, dévalise la caisse et blesse mortellement la gamine.
Six mois plus tard, Franck, devenu l’ombre de lui-même, attend toujours des flics cette réponse qui ne vient pas : l’identité du salaud qui a tué sa fille. Alors il se lance, se mue en enquêteur aux méthodes violentes, sadiques.
Une piste vers le Sud, à la recherche d’un toxicomane tatoué d’un symbole Anarchie sur l’épaule. Yannick. Pour le retrouver, Franck a chargé tout ce qui lui reste dans sa R5. Le fantôme de sa môme, à l’arrière, sur la banquette.
Mais sa course vengeresse ne va pas s’arrêter là. Les eaux bleues de la Méditerranée ne seront pas le théâtre de représailles salvatrices. Car Yannick est parti. Loin, en Guyane, là où vivent des hippies qui l’aideront à racheter sa conscience…
La voix la plus singulière du polar français fait son grand retour. Un roman noir ciselé, émouvant et terrible pour conter le plus odieux des deuils, la plus insatiable des vengeances et peindre le portrait d’un
homme et d’un monde qui vacillent.

Michaël Mention

Biographie : 

Michaël Mention est romancier et scénariste.

Adolescent, il dessine des bandes dessinées et intègre, en 1999, un atelier d’écriture à l’Université du Mirail à Toulouse. Par la suite, il glisse des chroniques aux nouvelles jusqu’à l’écriture en 2008 de son premier roman, « Le Rhume du pingouin ».

Il devient une étiole montante du polar avec « Sale temps pour le pays » (Grand Prix du roman noir français au Festival de Beaune en 2013) ainsi que « Et Justice pour tous » (Prix Transfuge du meilleur espoir polar en 2015), tous deux publiés chez Rivages.

Il est aussi l’auteur d’un récit documentaire, « Fils de Sam » (2014), et de « Jeudi noir » (Ombres noires, 2014), un roman sur le match de football France-Allemagne de 1982.

Résumé :
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Franck, disquaire à Pigalle, avait tout : une femme formidable, une petite fille espiègle.
Et puis un jour de juin 1977, tout s’effondre lorsqu’un type braque une boulangerie de Belleville, dévalise la caisse et blesse mortellement la gamine.
Six mois plus tard, Franck, devenu l’ombre de lui-même, attend toujours des flics cette réponse qui ne vient pas : l’identité du salaud qui a tué sa fille. Alors il se lance, se mue en enquêteur aux méthodes violentes, sadiques.
Une piste vers le Sud, à la recherche d’un toxicomane tatoué d’un symbole Anarchie sur l’épaule. Yannick. Pour le retrouver, Franck a chargé tout ce qui lui reste dans sa R5. Le fantôme de sa môme, à l’arrière, sur la banquette.
Mais sa course vengeresse ne va pas s’arrêter là. Les eaux bleues de la Méditerranée ne seront pas le théâtre de représailles salvatrices. Car Yannick est parti. Loin, en Guyane, là où vivent des hippies qui l’aideront à racheter sa conscience…
La voix la plus singulière du polar français fait son grand retour. Un roman noir ciselé, émouvant et terrible pour conter le plus odieux des deuils, la plus insatiable des vengeances et peindre le portrait d’un
homme et d’un monde qui vacillent.