Éric Chavet
Biographie :
Éric Chavet est passionné par la littérature. Il apprécie particulièrement Frédéric Dard, Pierre Desproges, Romain Gary et Boris Vian. Je serai toujours là est le cinquième roman de ce quadragénaire lyonnais, le troisième publié aux Éditions Lajouanie.
Résumé :
Un homme est au volant de sa voiture. Il s’est pris la tête avec Léa après une de leurs parenthèses charnelles clandestines. Elle lui a posé un ultimatum. Elle veut plus que des ébats furtifs partagés sous les draps d’un hôtel. De la tendresse, bordel ?!
Il fait sombre, il pleut. L’homme déteste novembre. Il cherche une cigarette dans sa boîte à gants, fait un écart, heurte le scooter qui lui collait le train. Il s’arrête sur le bas-côté, regarde dans son rétro. Le petit con qui a tenté de le doubler est allongé sur le bitume. Des secondes, des minutes à tergiverser le cul collé à son siège… Le bruit d’un camion transperce l’obscurité. Il va déboucher du grand virage.
Quelques heures plus tard, l’homme fixe des yeux des étoiles fluorescentes collées au plafond, allongé dans le lit de Léa. Il repense au scooter, au camion, à son errance traumatique qui l’a conduit dans ce bled, dans cette église. Il revoit la surprise, puis la peur, sur le visage du prêtre lorsqu’ils se sont retrouvés face à face, seuls dans cette sacristie. Il se remémore ses instants où il s’est senti l’égal de ce Dieu en qui il s’était promis de ne plus croire.
Il repense à sa fille, à sa femme. À sa vie, celle d’avant, celle qui n’aura pas d’après. Celle qui a pris fin sur une départementale, dans une sacristie, dans le lit de Léa.
– Une écriture ciselée, vive, enlevée.
– Pas de temps morts, pas d’atermoiements, l’action se déroule en moins de 24 heures. Un scénario terriblement efficace.
– Des notes d’humour noir bienvenues dans un contexte parfois désenchanté.
– Le deuxième roman de Chavet publié chez Lajouanie. Très différent d’Ouvre les yeux ! mais aussi convaincant.
Éric Chavet
Biographie :
Éric Chavet est passionné par la littérature. Il apprécie particulièrement Frédéric Dard, Pierre Desproges, Romain Gary et Boris Vian. Je serai toujours là est le cinquième roman de ce quadragénaire lyonnais, le troisième publié aux Éditions Lajouanie.
Un homme est au volant de sa voiture. Il s’est pris la tête avec Léa après une de leurs parenthèses charnelles clandestines. Elle lui a posé un ultimatum. Elle veut plus que des ébats furtifs partagés sous les draps d’un hôtel. De la tendresse, bordel ?!
Il fait sombre, il pleut. L’homme déteste novembre. Il cherche une cigarette dans sa boîte à gants, fait un écart, heurte le scooter qui lui collait le train. Il s’arrête sur le bas-côté, regarde dans son rétro. Le petit con qui a tenté de le doubler est allongé sur le bitume. Des secondes, des minutes à tergiverser le cul collé à son siège… Le bruit d’un camion transperce l’obscurité. Il va déboucher du grand virage.
Quelques heures plus tard, l’homme fixe des yeux des étoiles fluorescentes collées au plafond, allongé dans le lit de Léa. Il repense au scooter, au camion, à son errance traumatique qui l’a conduit dans ce bled, dans cette église. Il revoit la surprise, puis la peur, sur le visage du prêtre lorsqu’ils se sont retrouvés face à face, seuls dans cette sacristie. Il se remémore ses instants où il s’est senti l’égal de ce Dieu en qui il s’était promis de ne plus croire.
Il repense à sa fille, à sa femme. À sa vie, celle d’avant, celle qui n’aura pas d’après. Celle qui a pris fin sur une départementale, dans une sacristie, dans le lit de Léa.
– Une écriture ciselée, vive, enlevée.
– Pas de temps morts, pas d’atermoiements, l’action se déroule en moins de 24 heures. Un scénario terriblement efficace.
– Des notes d’humour noir bienvenues dans un contexte parfois désenchanté.
– Le deuxième roman de Chavet publié chez Lajouanie. Très différent d’Ouvre les yeux ! mais aussi convaincant.